Currently set to Index
Currently set to Follow

La troupe de danse lors de l’un de ses autres spectacles (image provenant du site web alfredozinola.com)

En plein jour, dans une école primaire de Cologne: lors d’une danse devant des enfants, deux hommes se sont embrassés profondément et se sont léchés mutuellement. Des parents révoltés ont appelé la police. Les responsables sont favorables à cette forme perverse de sexualisation précoce.

Les gros titres parus dans la presse tirent la sonnette d’alarme: «Chorégraphie choquante à l’école primaire: des danseurs se lèchent mutuellement devant des enfants stupéfaits», rapportait le journal «Bild». «Fétichisme1 des pieds et baisers profonds: des pratiques autrefois réservées à la chambre à coucher, mais qui ont désormais envahi les écoles. Les écoles primaires, pour être précis.», écrivait la «Junge Freiheit». «Baisers profonds devant des élèves du primaire – des danseurs suscitent la colère de certains parents», affirmait la publication «Fokus». «Des parents appellent la police après que des danseurs ont échangé des baisers», titrait la «Rheinische Post».

Que s’est-il passé? L’incident s’est produit en avril de cette année, à l’école primaire Montessori de Cologne, dans le quartier de Mülheim. Deux hommes vraisemblablement homosexuels se sont produits dans une pièce de théâtre intitulée «Baiser de la Belle au bois dormant». On y vu des pratiques fétichistes comme le léchage des pieds.

Ce spectacle choquant n’est ni un cas isolé ni le fait du hasard. Il fait partie d’un «projet établi de longue date», comme l’écrit la directrice d’école dans un courrier adressé aux parents. Ce projet reçoit même des deniers publics. Il fait partie «du soutien avant-gardiste accordé par le ministère de la culture et de la science du Land de Rhénanie-Westphalie». Dans ce contexte, l’école primaire Montessori de Cologne a été sélectionnée comme l’un des deux sites de projet pour le spectacle de cette troupe de danse.

La première partie du projet s’est déjà déroulée en novembre de l’année passée. Cette deuxième partie était une improvisation sur le thème «baiser – proximité et distance». Les enfants dès l’âge de 6 ans peuvent assister à ce type de spectacle à caractère sexuel avec des baisers profonds et le léchage des pieds accomplis par des hommes adultes. Face à cette présentation choquante, la directrice d’école botte en touche: «Selon les directives assignées aux établissements primaires, la tâche de nos écoles est de favoriser le développement de valeurs et d’idées indispensables à la vie dans une société démocratique.» Et d’ajouter: «Les écoles primaires ont aussi pour obligation à l’égard de leurs élèves de placer en contexte les similitudes et les différences de situations de vie des personnes (notamment les différentes formes de famille), de les décrire, mais aussi de débattre des préjugés et des stéréotypes liés au genre et à la culture».

Les réactions des responsables montrent bien à quel point les élèves du primaire sont la cible d’un assaut idéologique axé sur la sexualisation et les pratiques fétichistes: ni les enseignants ni l’organe de surveillance de l’école n’ont manifesté une quelconque compréhension pour les critiques provenant des parents concernés. Bien au contraire: dans un courrier adressé aux parents, l’organe de surveillance défend bec et ongles ce spectacle de baisers en affirmant: «Tout ce qui a été présenté est approprié.» Selon ces responsables, il est donc «approprié» que même les élèves de première année doivent, pendant les cours, regarder des danseurs s’embrasser profondément et se lécher mutuellement. L’organe de surveillance tente finalement de se dédouaner en prétendant que l’«esthétique» est une affaire subjective. Comme s’il s’agissait ici uniquement d’esthétisme.

Au lieu d’examiner sérieusement le problème, l’organe de surveillance choisit de contre-attaquer en prétendant que ce spectacle a été «mal» décrit dans les médias. «Les commentaires des médias font du tort à la réputation de l’école et des artistes, ils sont décourageants pour le corps enseignant et ils nous occasionnent aussi une quantité de travail supplémentaire qui nous échoit à nous aussi en tant représentants des parents, car nous devons faire face à de nombreuses questions provenant de tout le spectre médiatique». Et d’ajouter: «De plus, nous sommes très préoccupés par de tels comportements et commentaires médiatiques, qui risquent de faire fuir nos enseignants. Et ça, nous ne le voulons en aucun cas!» L’organe de surveillance conclut en priant son «cher» corps enseignant de continuer ainsi, «vous avez fait de l’excellent travail».

Appel: L’Association Initiative de protection s’engage pour la protection et le développement harmonieux de nos enfants, et vous prie de lui rapporter si de tels incidents mettant en danger les enfants se produisent dans les écoles.

Ces citations montrent que les responsables ne manifestent pas la moindre compréhension et ne se laissent aucunement détourner de leur mission idéologique. Relevons que le danseur Alfredo Zinola est connu. Son intérêt concernant le théâtre pour enfants l’a amené à créer des spectacles sur «la famille et l’intimité.» Il s’interroge sur «les sphères de l’intimité ainsi que sur la nécessité et la curiosité liées au voyeurisme». En 2015, il s’est produit dans un spectacle de danse illustrant «une révolution potentielle d’objets de l’enfance». Dans son spectacle «Pelle» («peau»), Zinola a mis en scène des danseurs nus, les yeux bandés et ne portant que des sous-vêtements, qui se faisaient toucher par des enfants. Le but était «d’être ouvert à la curiosité suscitée par des corps nus», déclarait-il.

Selon les médias, ce spectacle de danse a «provoqué la colère chez les parents et le dégoût chez les enfants». «Ma fille m’en a parlé alors que je la ramenait de l’école. Souhaitant savoir si ses dires étaient vraiment exacts, j’ai interrogé certains autres parents, qui m’ont confirmé que ces actes avaient bien eu lieu. Aujourd’hui encore, je ne comprends pas quels étaient les aspects pédagogiques de cette affaire», a déclaré une mère à «Bild». Et encore: «Remarque importante pour les parents: ‹Nous ne sommes pas homophobes. Nous aurions réagi exactement de la même manière si ces actes avaient été accomplis par un homme et une femme.›» Ce spectacle a finalement fait l’objet d’une enquête de police. «Certains enfants, dégoûtés, sont effectivement sortis de la salle, mais, à en croire les parents, ils ont été ramenés à l’intérieur», a affirmé le porte-parole de la police de Cologne.

Conclusion: Il est très important que la résistance face aux excès et à la perversité de la sexualisation précoce dans les écoles se renforce.

1 Fétichisme: (ici) attirance excessive pour certaines parties du corps en vue de la stimulation du désir sexuel.

Une femme trans aux côtés du marchand de sable

Les radiodiffuseurs publics allemands tels ARD et ZDF font des émissions pour enfants qui propagent toujours plus agressivement la pernicieuse idéologie trans. Des scientifiques de renom s’y opposent. Il est grandement temps de se réveiller et de secouer le public!

Le 22 juillet 2023, on a pu voir la femme trans «Monsieur Ingeborg» apparaître dans l’émission «Notre petit marchand de sable» diffusée depuis 1959. Lèvres, joues, boucles d’oreilles, perles et collier, chaussures, tout était de couleur rouge. Le vêtement vert complétait l’aspect de la «femme trans». Si ce personnage n’avait pas une calvitie et une moustache, les enfants pourraient croire qu’il s’agit d’une femme. Ils peuvent donc se demander si c’est un homme, une femme, ou autre chose. D’autres émissions comme le programme pour enfants «Sendung mit der Maus» promeuvent également l’idéologie transgenre auprès des jeunes enfants.

Appel de scientifiques et de médecins

L’an dernier, un groupe de scientifiques composé de biologistes et de médecins ont rapporté les résultats de leurs recherches dans le quotidien «Die Welt», où il annonçaient vouloir mettre à nu la «désinformation liée à la multiplicité des sexes». Ils ont critiqué ARD, ZDF et la radio publique allemande de vouloir «endoctriner les enfants et de suivre un plan sinistre». En outre, ils ont mené une analyse pointue sur plusieurs dizaines d’émissions du radiodiffuseur public  ÖRR. Ce qu’ils ont découvert leur a donné une «image effrayante». Outre la propagande trans, ils ont vu des vidéos sur l’ablation de parties génitales, la simulation d’actes sexuels au moyen de drogues ainsi que d’autres informations sur des pratiques révoltantes et dangereuses allant jusqu’au cannibalisme. La promiscuité est devenue la nouvelle norme, et on exalte désormais la sexualité uniquement comme satisfaction des pulsions. Le résumé figure dans un dossier de 50 pages intitulé «À l’ÖRR, l’idéologie supplante la biologie»1.

Ces scientifiques ont également publié un appel sous le titre «Mettre fin à la désinformation répandue par les  radiodiffuseurs publics», par lequel ils réclament un «renoncement aux approches idéologiques concernant la transsexualité et une présentation fidèle des réalités biologiques».2 Le fait est qu’on inculque aux enfants une idéologie au lieu de la biologie – avec des conséquences incalculables!

Résultat de la propagande trans

À en juger par cet appel, les conséquences d’un tel endoctrinement des enfants et des adolescents sont dévastatrices. Le thème «trans» est porté par les radiodiffuseurs publics auprès des jeunes «avec pour résultat que le nombre d’en-
fants traités pour troubles de l’identité sexuelle s’est multiplié par 25 en moins de dix ans». Les émissions de radio et de TV ainsi que les médias sociaux des radiodiffuseurs publics célèbrent ce délire trans et vantent la «démarche pour avoir le corps correct» comme étant une étape d’une simplicité enfantine. «La réalité, c’est que des jeunes filles vont chez un chirurgien pour se faire enlever les seins et l’utérus, et se font prescrire des bloqueurs d’hormones de puberté qui empêchent temporairement le développement des caractéristiques primaires et secondaires du sexe de la  personne.» Les éventuelles conséquences physiques et psychiques, parfois irréversibles, de tels actes n’ont pas été prises en compte, affirment les scientifiques.

Les émissions de TV et de radio ainsi que les médias sociaux des radiodiffuseurs publics célèbrent ce délire trans et vantent la «démarche pour avoir le corps correct» comme étant une étape d’une simplicité enfantine.

Propagande trans à la télévision

Les exemples de diffusion sans retenue de propagande trans chez les radiodiffuseurs publics vivant de nos redevances ne manquent pas. Ainsi l’émission «Sendung mit der Maus»: «Erik devient Katja.» Erik, alias Katja, explique: «On naît avec un pénis et on a le sentiment que ce n’est pas notre vraie nature. Je suis une femme.» ZDF a diffusé l’émission «Trans*: l’opération de changement de sexe – Que ressent-on en étant trans*?» Et l’émission «C’est comment, de tourner des films porno?» montre sans esprit critique un réalisateur porno ayant été dénoncé pour avoir abusé d’enfants. Un «journaliste» de ZDF a expliqué, dans un reportage intitulé «Homme trans* et enceint: Kai a eu un enfant tout seul», que «les femmes ne sont pas seules» à pouvoir enfanter; «les personnes trans*, non-binaires et intersex» le peuvent aussi. Dans une autre émission ZDF, on demandait: «Quels produits d’hygiène un homme trans utilise-til? » Et ainsi de suite. Il n’y a apparemment plus aucune limite au délire trans chez les radiodiffuseurs vivant de nos redevances.

Il est grand temps que cet endoctrinement systématique de nos enfants et adolescents cesse – en Suisse aussi. La Radiotélévision suisse (RTS) propage elle aussi l’idéologie trans via différents canaux. De tels organismes publics, qui vivent des redevances, ont choisi d’ignorer la science. Ils se livrent à la désinformation, abolissent les limites de la pudeur et harcèlent les enfants et les adolescents au moyen de représentations pornographiques pendant les heures de grande écoute.

Le fait que le petit marchand de sable a désormais fait place à une «femme trans» à l’heure où les tout-petits vont au lit et emportent ces images dans leur sommeil, montre avec quel fanatisme idéologique les activistes trans s’en prennent aux jeunes enfants par le biais des programmes TV publics. L’Association Initiative de protection conseille à tous les parents de ne pas laisser leurs enfants regarder sans surveillance «d’innocentes» émissions pour enfants, et de rapporter à l’Association les programmes comportant de la propagande trans.

1 https://www.evaengelken.de/wp-content/uploads/2022/05/Fehldarstellung- Biologie_mit-Inhaltsverzeichnis_Freigegeben-3.pdf
2 Appel: https://www.evaengelken.de/aufruf-schluss-mit-derfalschberichterstat- tung-des-oeffentlich-rechtlichen-rundfunks/

Verena Herzog
conseillère nationale Frauenfeld (TG)

La thématique du «gender» ne nous laisse aucun répit. Toujours à nouveau il est mis en exergue et considéré comme un thème prioritaire. En dehors des femmes et des hommes il faut créer un troisième genre. Personne ne sait comment ce genre devrait réellement s’appeler et il n’existe aucune base scientifique ni non plus génétique pour le justifier.

Les chromosomes féminins et masculins sont clairement définis, la preuve génétique d’un troisième sexe n’est, elle, pas établie. Nonobstant cette question fondamentale, mais fidèle à l’esprit international de ce temps, des offensives politiques vont pleuvoir tous azimuts.

Fin 2017, deux conseillères nationales ont exigé l’introduction d’une troisième identité sexuelle dans le registre des genres, ou l’élimination pure et simple de l’inscription du genre. Ces motions ont été signées par des représentants de tous les partis sauf de la faction de mon parti, l’UDC. En 2018, ces propositions ont été toutes deux acceptées à une assez large majorité.

Au terme de l’année passée, le conseil fédéral a publié son rapport concernant ces deux initiatives acceptées, dévoilant ainsi son point de vue sur la question de savoir s’il y aurait ou non un troisième sexe1. J’ai été positivement surprise que le conseil fédéral se prononce contre l’élargissement à un troisième sexe. Ce dernier a premièrement justifié sa décision par la révolution sociétale profonde liée à un tel choix. Ainsi a-t-il développé le flou que créerait l’introduction d’un troisième genre, se demandant à qui serait autorisé l’accès aux douches des femmes, comment des vestiaires devraient être séparés, qui aurait l’autorisation de sa parquer sur des places de parc réservées aux femmes ou encore qui serait autorisé à se rendre au sauna lors des journées réservées aux femmes. D’autre part, selon le conseil fédéral l’introduction d’un nouveau sexe n’est pas encore d’actualité. «Le modèle binaire des sexes est toujours et encore bien ancré dans la société et dans la vie au quotidien. Pour ces raisons, le conseil fédéral est d’avis que les conditions sociétales ne sont actuellement pas remplies pour l’acceptation de l’introduction d’un troisième genre ou le renoncement total à l’évocation d’un sexe.»

En relisant la réponse du nos «sages», je n’arrive pas à me défaire de l’idée que le conseil fédéral serait déjà favorable à un troisième genre mais reste convaincu que le peuple ne suivrait pas son avis parce qu’une majorité de la société ne le voit pas encore de cet œil.

D’autres motions plus récentes vont encore bien plus loin dans la fausse direction. Ainsi une conseillère vertelibérale a déposé une motion en vue d’une révision totale de la loi sur la transplantation. Concrètement elle proposait que le don de sperme soit également accessible aux personnes seules. Par chance, cette motion a tout récemment été rejetée par une courte majorité du conseil national.

Pour cette question, la faction UDC représente sans équivoque l’avis de la majorité du peuple. Les prochaines élections fédérales auront lieux au mois d’octobre. Je ne me représenterai pas pour un mandat, mais vous demande d’élire des personnes et partis qui s’engagent de façon déterminée et sans ambiguïté pour le bien des enfants, une société saine et contre des revendications de l’idéologie du genre toujours plus extrêmes.

sign

Verena Herzog,
conseillère nationale, Frauenfeld (TG)

1 https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/74662.pdf

Josh Alexander, un jeune élève de 16 ans, a été arrêté en février 2023 à son école secondaire au Canada, pour motif de perturbation de la paix sociale alors qu’il voulait participer à un cours scolaire. L’élève avait été préalablement suspendu par l’école qu’il fréquentait, en raison de ses positions contre la politique transgenre adoptée au niveau de la gestion des toilettes.

L’Ecole catholique située à Renfrew, (Province de l’Ontario) autorise les élèves masculins qui se sentent fille à utiliser les toilettes des dames.

Après que la police ait emmené Josh Alexander, ce dernier posta sur Twitter: «Je viens d’être arrêté puis accusé dans mon école catholique. Ceci en raison de ma participation au cours alors que j’avais été exclu, pour le seul motif que j’avais exprimé mon intention de m’en tenir à mes convictions religieuses.»

Le courageux élève, un baptiste, maintient, sur le portail d’information EWTN que son problème ne se situe pas au niveau des élèves transgenres en tant qu’individus, mais «au niveau du système qui encourage cette forme de comportement déviant». Lui manifesterait au contraire de la compréhension pour ces élèves désorientés, qui ont été endoctrinés par les parents, la société et le système éducatif.

Les autorités scolaires avaient déjà jeté leur dévolu sur la personne de Josh Alexander depuis belle lurette, lorsque ce dernier avait – lors d’une discussion de classe et versets bibliques à l’appui – affirmé de façon péremptoire «Il n’existe que deux genres!». Le droit de retourner sur les bancs de son école n’est pas encore acquis.

Madame Van der Lelij, présidente du Collectif parents, fondé en 2021 au début de la pandémie, et Dr. Chatton, psychiatre, psychothérapeute FMH et sexologque clinicien, ont tous deux récemment rédigé et signé une lettre adressée à la Syndique de Mont Sur Lausanne, en Suisse, dans le contexte d’une lecture publique organisée à la Médiathèque du Mont le 29 mars 2023. Il s’agissait d’une lecture faite par une drag queen, Tralala Lita, à des enfants dès l’âge de 6 ans, lecture qui pourrait perturber les enfants dans leur développement (surtout à l’âge de 6 ans).

Au Canada, un maître de travaux manuels a chauffé à blanc les parents d’élèves. Si Kerry Lemieux, est biologiquement un homme, il porte depuis environ un an, une perruque à cheveux longs, se maquille et s’autonomme «Kayla». Du fait qu’il enseigne à des mineurs, En tant que femme Transgenre, il a depuis des mois choqué son entourage, en portant une blouse très moulante , qui met en exergue des seins anormalement volumineux. L’école se tient derrière Lemieux, s’appuyant sur «la Convention des droits de l’homme».

L’Ecole Secondaire Trafalgar à Oakville (Ontario), réfute toute critique des parents à ce sujet. Elle maintient que le maître jouit du droit d’exprimer sa nouvelle identité sexuelle (gender identity) ainsi que son expression de genre (gender expression) comme «femme» en vivant avec d’énormes seins. Ce droit est protégé par le codex des droits de l’homme de l’Ontario1, et n’autorise aucune forme de discrimination. Dans une pétition adressée aux autorités, des parents réclament l’éviction de Lemieux qui représente pour les mineurs, une provocation quotidienne de personnification pornographique.

Cela constitue une forme d’atteinte sexuelle aux enfants et plus largement de Grooming2 également. Il n’est pas possible de justifier son apparition en tant que femme transgenre pour excuser son comportement éhonté, impudique, et sexualisé à outrance. Les parents reprochaient à l’école de ne rien entreprendre en vue de mettre fin à cette forme d’exploitation sexuelle.

Fin février 2023 l’activiste transgenre ne s’est plus présenté devant la classe. Les parents espèrent le voir à jamais interdit d’exercer.

  1. Codex des droits de l’homme: Ontario Human Rights Code
  2. Grooming: prise de contact ciblée d’un adulte avec des personnes mineures
    dans le but d’en abuser sexuellement

La pièce de théâtre «Je m’appelle Nom – lorsque je seraigrand je deviendrai une femme ou un homme?», vise à «libérer» les enfants dès l’âge de 7 ans de leur sexe biologique. Cette pièce hautement problématique et perfide constitue une véritable fabrique de personnes genrées. Cette année, elle a déjà été jouée à Zollikon/ZH1. L’Association Initiative de protection a mandaté le Prof. Jakob Pastötter2 pour une évaluation de cette pièce qui a abouti à l’envoi d’un dossier succint aux parents d’élèves résidant à Zollikon. Dans son résumé, le scientifique alerte de façon claire des risques de destruction de la conscience du Moi, et, des menaces de psychoses.

L’ACTUALITÉ DE L’INITIATIVE DE PROTECTION: Dans la pièce de théâtre (transgenre) «Je m’appelle Nom – lorsque je serai grand je deviendrai une femme ou un homme?» on fait croire aux petits enfants que le sexe biologique ne représente qu’une pure invention. Que notre venue au monde comme garçon ou comme fille n’est pas plus déterminante que de naître en été ou en hiver ou que de porter des chaussettes bleu clair ou roses. Qu’est-ce qui se cache derrière ces affirmations?

Prof. Pastötter: «Des artistes-travailleurs» ainsi que des enseignants veulent élever, avec un accent sur «l’élévation». La pédagogie sociale, qui, en soit déjà, constitue une science d’apparence a tourné en rond. Après avoir enfanté la science de la sexualité, elle l’a transformée en un nouvel enseignement socio-sexuel. C’est pourquoi il est suggéré de considérer ce qui auparavant constituait la biologie naturelle et indéniable comme «une invention de vieux hommes blancs». Au demeurant sexistes et par conséquent à bannir. En d’autres termes, il faudrait éliminer tous les prérequis génétiques, ainsi que tout ce qui est considéré comme naturel. L’ordre naturel des choses devrait être remplacé, par le truchement d’une « guérison libératrice » déstabilisante de par le désordre des sexes qu’elle engendre. Cette dernière semble promouvoir la propre liberté de l’individu mais de fait, elle crée une véritable dictature.

AIP: Qu’entendez-vous par «les conséquences pour les enfants et la société»?

Prof. Pastötter: Les apôtres du «genre» promeuvent une sexualité mutante de l’individu et la découverte des nombreuses formes de sexualité. Au cours de ce processus d’insécurité et de déconstruction l’individu est partagé au plus profond de son être intérieur. Avec l’avènement d’une nouvelle personne surgit la menace de schizophrénie et de psychoses. S’il a fallu des millions d’années pour être ce que nous sommes aujourd’hui, c’est que oui, il n’existe effectivement aujourd’hui, que des hommes et des femmes.

AIP: Qu’entendez-vous concrètement par «des psychoses menacent»?

Prof. Pastötter: Le père suisse de la psychologie analytique C. G. Jung, l’a ainsi formulé de façon dramatique. Celui qui conduit une personne dans une forme de psychose devrait d’abord savoir si, et comment, il peut l’en ressortir. Malheureusement les réformateurs autoproclamés de la sexualité sociale nous sont toujours redevables d’une réponse ce concernant. Alors même qu’une étude sur le développement psychologique possède cette réponse. C’est ainsi qu’un enfant capricieux détruit d’abord tout sur son passage ne laissant aux parents que le choix de ramasser les pots cassés.

AIP: Quel rôle jouent les responsables de la formation dans les écoles ?

Prof. Pastötter: C’est l’Etat lui-même, qui dans son rôle de garant officiel de la formation, s’acoquine sur une voie d’au-to-destruction avec un convoi funèbre. Cela provient vraisemblablement du fait que les bureaucrates en charge de la formation et les technocrates de l’engineering sociale recrutent essentiellement dans les mêmes viviers de la pédagogie sociale. Les responsables de la formation ne sont pas conscients qu’à la fin de ce processus on ne retrouvera pas des citoyen(ne)s conscient(e)s de leurs responsabilités mais bien des cas psychiatriques. Ce n’est pas de cette façon que l’on pourra constituer un Etat car la schizophrenie représente l’anarchie dans sa forme la plus aigüe.

AIP: Que conseillez-vous aux responsables éducatifs par rapport à la pièce de théâtre «Je m’appelle Nom»?

Prof. Pastötter: En tant que scientifique dans le domaine de la sexualité, je ne peux que conseiller de ne donner aucun crédit à une pièce dont le contenu est hautement problématique en matière de psychologie et donc de ne pas soumettre – dans des écoles et à des enfants en âge de scolarité obligatoire – une pièce aussi déstabilisante.

Ci-dessous, un extrait de la pièce de théâtre idéologiquement orientée:

(…) «A cette occasion les concepteurs de la pièce n’ont aucun scrupule à jeter un oeil dans le sous-vêtement. Ainsi l’on peut entendre la phrase suivante: ‹Je veux aussi que l’on voie mon sous-vêtement (sous-en-tendu : caleçon).› Sur quoi les acteurs adultes scandent en coeur à l’attention du public d’enfants: ‹Sous-vê, soustement, sous-vêtement!› Faut-il y voir uniquement une phrase manquant de goût ou s’agit-t-il déjà de l’étape suivante?» (…)

  1. Aula Buechholz, Zollikon, 18.1.2023.
  2. Prof. (US) Dr. phil., M. A., Jakob Pastötter, scientifique en matière de sexualité et anthropologue culturel, directeur de la société allemande de sciences sociales pour la recherche en matière de sexualité (DGSS)

L’émission «la Parole du dimanche» est diffusée chaque samedi à 20 heures sur la première de la télévision suisse alémanique, à une heure d’écoute maximale où devrait être diffusée des pensées chrétiennes en rapport à l’actualité de notre temps. Le samedi 21 janvier 2023, la pasteure evangélique-réformée Léa Wenger-Scherler, de Bürglen (BE) a distillé sa propagande pro-genre en faveur d’un troisième sexe appelé «divers» à des dizaines de milliers de téléspectateurs.

Reprenant le titre de l’émission, à savoir la question: «Est-ce une fille ou un garçon?» Madame Wenger-Scherler posait la question de savoir pourquoi inlassablement la question du sexe de l’enfant était toujours soumise aux parents. Elle se demandait s’il était vraiment si important qu’un enfant soit – d’un point de vue biologique – «un garçon ou une fille», «les deux» ou «aucun des deux». Plus loin. Madame Wenger-Scherler avertit les téléspectateurs qu’en ce moment même ils allaient secouer la tête, puis elle enchaîne pour dire que le terme «non-binaire» (donc pas des deux sexes actuellement admis) nous met au défi; elle se demande ensuite ce qu’il adviendrait des personnes qui ne se reconnaissent dans aucune de ces catégories, puisqu’elles ne peuvent ni cocher la case féminin ni la case masculin du fait qu’aucune des deux cases ne leur correspond.

«Diversité» dans le langage et sur les formulaires

La femme pasteure dit désirer voir un langage «plus diversifié» et de la place sur un formulaire pour un «petit carré supplémentaire» ce qui représenterait «quelque chose de grand».

Lea Wenger-Scherler instrumentalise l’émission «Wort zum Sonntag» pour la propagation de l’idéologie du genre, qui met en péril les enfants et détruit la famille. Il s’agit d’une attaque frontale contre l’ordre naturel binaire des choses (masculin et féminin) qu’elle désire mettre sur un pied d’égalité avec des familles de tous genres et des relations de toutes formes… Ce que ce discours a de commun avec la chrétienté reste une énigme.

Un troisième genre constituerait une oeuvre fantaisiste des idéologues radicaux et de leurs acolytes et représentants en politique, dans les médias, sur internet ou dans les églises.

Élections 2023: Qui nous soutiendra?

C’est un plaisir pour moi de rédiger mon premier rapport de Berne pour le magazine Actualité Initiative de protection de notre association, prenant ainsi la succession de mon ancien collègue du Conseil national Sebastian Frehner.

Les préoccupations de l’Association Initiative de protection sont de la plus haute importance. Notre mission première est l’engagement en faveur d’une éducation sexuelle raisonnable. Il est en effet judicieux de préconiser une éducation sexuelle par paliers – par exemple, s’agissant des adolescents, de les informer concernant la reproduction ou le risque de contracter une MST.

Mais nous nous opposons véhémentement à la prétendue «éducation sexuelle holistique» voulue par l’OMS, qui entend exposer les enfants et les adolescents à une éducation sexuelle non adaptée et à en faire des «êtres sexuels accomplis» dès le plus jeune âge.

Nous suivons avec appréhension et depuis longtemps les travaux de l’organisation privée «Santé Sexuelle Suisse» soutenue financièrement par la Confédération. Outre son activisme en faveur de la sexualisation précoce susmentionnée dans les écoles, elle s’est fait remarquer par sa campagne nationale sur la masturbation et par des brochures sur l’éveil sexuel qui se sont heurtées à de vives critiques.

Étant essentiellement une personne d’orientation libérale, je trouve que chaque personne a le droit de vivre comme bon lui semble. Mais quand des mouvements minoritaires tentent, par des moyens parfois illégaux, de convaincre la majorité du bien-fondé de leur mode de vie, c’est pousser le bouchon trop loin. Quand des groupuscules de la communauté LGBT envoient des «drag queens» dans les écoles pour inculquer aux enfants la «diversité» de leur monde, toutes les alarmes se mettent à sonner chez moi.

Même constat avec notre monde d’aujourd’hui, devenu tellement «woke», où les Blancs qui portent des dreadlocks rasta sont stigmatisés, où il ne faut plus lire Winnetou, et où les chansons qui déplaisent à certains ne doivent plus faire partie du répertoire musical. Sans parler des nombreuses grandes entreprises qui arborent dûment des logos arc-en-ciel tout en continuant allégrement leurs affaires en Arabie saoudite.

Des élections auront lieu dans moins d’une année. Qui est prêt à nous aider pour lutter contre le «délire» évoqué plus haut? Nous voulons une éducation sexuelle raisonnable pour nos enfants, et non des campagnes choquantes de masturbation et d’éducation sexuelle déployées à l’échelle nationale et financées par l’État, pas de drag queens dans les écoles, et nous voulons un monde moins woke …

En suivant les débats au Palais fédéral et en analysant les comportements de vote, je vois que notre confiance va surtout aux représentant(e)s du groupe UDC (y compris UDF), mais aussi à certains membres du centre.

Je ne fais aucune publicité pour moi-même, car je ne me représenterai pas aux prochaines élections. Ce qui me préoccupe, ce sont nos enfants et adolescents qui dépendent de la présence de parlementaires à Berne qui défendront leurs intérêts.

Certes, les élections n’ont lieu que dans quelques mois. Mais posez-vous dès maintenant la question de savoir qui, à Berne, défendra vos intérêts et ceux de l’Association Initiative de protection. Et parlez de ces personnes dans votre entourage – pour l’amour de nos enfants.

Verena Herzog,
conseillère nationale, Frauenfeld (TG)

La moutarde monte au nez de certains parents dans différentes communes du canton de Zurich. En effet, des écoles fréquentées par leurs enfants tentent impudemment de mettre en place une idéologie sexuelle néfaste et clairement abusive. Ces établissements utilisent également des méthodes qui s’apparentent à la technique du «grooming» pratiquée par les pédophiles.

Les signaux d’alarme sont assurément au rouge pour Silvia Steiner, membre du gouvernement zurichois et directrice de l’instruction publique dans ce canton.

Dans le canton de Zurich, les parents d’un enfant de 8 ans sont devenus méfiants en le voyant, un jour, revenir de l’école, très perturbé, racontant que des garçons aimeraient devenir des filles et les filles des garçons, ajoutant qu’il existe des médecins capables d’effectuer ce genre d’opération. Les parents, dans une colère noire, ont informé l’Association Initiative de protection et se sont défendus.

En octobre, on a appris le cas d’enfants de 9 ans dans une école primaire de Zollikon, qui ont dû, lors d’un exercice en classe, dire quel sexe ils choisiraient. Ils avaient le choix entre l’option «fille» ou «garçon», mais aussi «non binaire».

Dans une autre commune du canton de Zurich, des parents ont protesté contre la distribution de la brochure pornographique «Hey You» à des enfants de 12 ans. Ce document décrit des méthodes qui s’apparentent à la technique pédophile du grooming (voir notre article sur «Hey You» en pages 2 et 3 de ce numéro).

Add Your Heading Text Here

  • Oui, l’éducation sexuelle est l’affaire des parents ✓
  • Oui à la transmission du savoir concernant les aspects biologiques de la reproduction humaine ✓
  • Oui à l’enseignement sur la prévention des abus contre les enfants ✓
  • Oui à la protection contre la sexualisation des enfants et des adolescents ✓
  • Non à la prétendue «éducation complète à la sexualité» (Comprehensive sexuality education) dès la naissance (standards de l’OMS)!
  • Non à des concepts prétendant que les enfants sont des «êtres sexuels», qu’ils ont des «droits sexuels» (IPPF) et qu’ils ont besoin de «santé sexuelle»!
  • Non à un éveil sexuel provoqué chez les enfants dès la naissance (non à «l’information» sur la masturbation)!
  • Non à une idéologie sexuelle dangereuse pour les enfants!

Encore dans une autre commune zurichoise, une mère a contacté l’Association Initiative de protection pour exprimer sa colère contre le contenu de «Hey You», document que même la Neue Zürcher Zeitung qualifie de guide porno.

L’Association Initiative de protection a transmis ces quatre affaires, sous forme anonymisée, à Silvia Steiner, directrice du département de l’instruction publique, en réclamant qu’elle prenne les mesures nécessaires.

À tous les pères et toutes les mères

Aidez-nous à tenir cette idéologie toxique du genre à l’écart des établissements scolaires.

Si votre enfant vous rapporte que des enseignements aussi contestables sont propagés, écrivez à: Verein Schutzinitiative, Postfach, 4142 Münchenstein. Ou envoyez un e-mail à info@initiative-de-protection. ch. Toute requête sera traitée avec la confidentialité voulue. Les consultations avec des personnes compétentes concernant la suite à donner sont gratuites.