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Pièce de théâtre transgenre dans les écoles: Psychoses et schizophrénie menacent!

La pièce de théâtre «Je m’appelle Nom – lorsque je seraigrand je deviendrai une femme ou un homme?», vise à «libérer» les enfants dès l’âge de 7 ans de leur sexe biologique. Cette pièce hautement problématique et perfide constitue une véritable fabrique de personnes genrées. Cette année, elle a déjà été jouée à Zollikon/ZH1. L’Association Initiative de protection a mandaté le Prof. Jakob Pastötter2 pour une évaluation de cette pièce qui a abouti à l’envoi d’un dossier succint aux parents d’élèves résidant à Zollikon. Dans son résumé, le scientifique alerte de façon claire des risques de destruction de la conscience du Moi, et, des menaces de psychoses.

L’ACTUALITÉ DE L’INITIATIVE DE PROTECTION: Dans la pièce de théâtre (transgenre) «Je m’appelle Nom – lorsque je serai grand je deviendrai une femme ou un homme?» on fait croire aux petits enfants que le sexe biologique ne représente qu’une pure invention. Que notre venue au monde comme garçon ou comme fille n’est pas plus déterminante que de naître en été ou en hiver ou que de porter des chaussettes bleu clair ou roses. Qu’est-ce qui se cache derrière ces affirmations?

Prof. Pastötter: «Des artistes-travailleurs» ainsi que des enseignants veulent élever, avec un accent sur «l’élévation». La pédagogie sociale, qui, en soit déjà, constitue une science d’apparence a tourné en rond. Après avoir enfanté la science de la sexualité, elle l’a transformée en un nouvel enseignement socio-sexuel. C’est pourquoi il est suggéré de considérer ce qui auparavant constituait la biologie naturelle et indéniable comme «une invention de vieux hommes blancs». Au demeurant sexistes et par conséquent à bannir. En d’autres termes, il faudrait éliminer tous les prérequis génétiques, ainsi que tout ce qui est considéré comme naturel. L’ordre naturel des choses devrait être remplacé, par le truchement d’une « guérison libératrice » déstabilisante de par le désordre des sexes qu’elle engendre. Cette dernière semble promouvoir la propre liberté de l’individu mais de fait, elle crée une véritable dictature.

AIP: Qu’entendez-vous par «les conséquences pour les enfants et la société»?

Prof. Pastötter: Les apôtres du «genre» promeuvent une sexualité mutante de l’individu et la découverte des nombreuses formes de sexualité. Au cours de ce processus d’insécurité et de déconstruction l’individu est partagé au plus profond de son être intérieur. Avec l’avènement d’une nouvelle personne surgit la menace de schizophrénie et de psychoses. S’il a fallu des millions d’années pour être ce que nous sommes aujourd’hui, c’est que oui, il n’existe effectivement aujourd’hui, que des hommes et des femmes.

AIP: Qu’entendez-vous concrètement par «des psychoses menacent»?

Prof. Pastötter: Le père suisse de la psychologie analytique C. G. Jung, l’a ainsi formulé de façon dramatique. Celui qui conduit une personne dans une forme de psychose devrait d’abord savoir si, et comment, il peut l’en ressortir. Malheureusement les réformateurs autoproclamés de la sexualité sociale nous sont toujours redevables d’une réponse ce concernant. Alors même qu’une étude sur le développement psychologique possède cette réponse. C’est ainsi qu’un enfant capricieux détruit d’abord tout sur son passage ne laissant aux parents que le choix de ramasser les pots cassés.

AIP: Quel rôle jouent les responsables de la formation dans les écoles ?

Prof. Pastötter: C’est l’Etat lui-même, qui dans son rôle de garant officiel de la formation, s’acoquine sur une voie d’au-to-destruction avec un convoi funèbre. Cela provient vraisemblablement du fait que les bureaucrates en charge de la formation et les technocrates de l’engineering sociale recrutent essentiellement dans les mêmes viviers de la pédagogie sociale. Les responsables de la formation ne sont pas conscients qu’à la fin de ce processus on ne retrouvera pas des citoyen(ne)s conscient(e)s de leurs responsabilités mais bien des cas psychiatriques. Ce n’est pas de cette façon que l’on pourra constituer un Etat car la schizophrenie représente l’anarchie dans sa forme la plus aigüe.

AIP: Que conseillez-vous aux responsables éducatifs par rapport à la pièce de théâtre «Je m’appelle Nom»?

Prof. Pastötter: En tant que scientifique dans le domaine de la sexualité, je ne peux que conseiller de ne donner aucun crédit à une pièce dont le contenu est hautement problématique en matière de psychologie et donc de ne pas soumettre – dans des écoles et à des enfants en âge de scolarité obligatoire – une pièce aussi déstabilisante.

Ci-dessous, un extrait de la pièce de théâtre idéologiquement orientée:

(…) «A cette occasion les concepteurs de la pièce n’ont aucun scrupule à jeter un oeil dans le sous-vêtement. Ainsi l’on peut entendre la phrase suivante: ‹Je veux aussi que l’on voie mon sous-vêtement (sous-en-tendu : caleçon).› Sur quoi les acteurs adultes scandent en coeur à l’attention du public d’enfants: ‹Sous-vê, soustement, sous-vêtement!› Faut-il y voir uniquement une phrase manquant de goût ou s’agit-t-il déjà de l’étape suivante?» (…)

  1. Aula Buechholz, Zollikon, 18.1.2023.
  2. Prof. (US) Dr. phil., M. A., Jakob Pastötter, scientifique en matière de sexualité et anthropologue culturel, directeur de la société allemande de sciences sociales pour la recherche en matière de sexualité (DGSS)